Homopholie: On n’en peut plus!

Une fois encore les malades de la quéqette vont pleurnicher: Une quarantaine d’associations appellent à manifester ce dimanche soir place de la République, à Paris, « pour dénoncer l’homophobie »!

L’homophobie en francarabia, c’est oser pour un homme refuser de se faire enculer par un autre homme! C’est oser dire que si ces malades ont effectivement le droit de le faire, ils n’ont pas à le faire en public, et la loi en Russie est d’ailleurs un exemple a appliquer chez nous: La-bas, toute manifestation publique de l’homosexualité est interdite, pour protéger en particulier les mineurs! Chez eux, ils peuvent s’enculer tant qu’ils le veulent, aucun problème!

En francarabia, c’est l’inverse, et toute personne normale hétéro qui oserait protester contre une « gaypride » sera trainée devant les tribunaux pour être jugée par des magistrats alternant pédérastie et pédophilie, étroitement liés! A se demander si les francais ne sont pas majoritairement des tarlouzes….

Voici un article publié en janvier 2015 sur un site « ami », qui précise pas mal de choses… Après lecture (jusqu’au bout et sans dégueuler s’il vous plait!), toute personne sensée sera convaincue que toute publicité pour cette maladie doit être totalement éradiquée!


CE QUE CACHE LA LOI TAUBIRA.PARTIE I: LA REALITE MEDICALE

Dans cet article, nous allons prendre position sans finasser. Nous n’allons ni moraliser ni ergoter sur ‘’les goûts et des couleurs’’. Nous resterons sur un registre scientifique, purement médical, factuel. Mais nous en tirerons une conclusion éthique ferme sur cette question où l’actuel gouvernement est passé en force, contre le sentiment populaire majoritaire. Cela ne fera pas plaisir à tout le monde : tant mieux !

Nous allons dénoncer une escroquerie majeure, une volonté diabolique qui aboutit à créer de façon officielle et organisée des problèmes de santé publique lourds là où il ne devrait pas y en avoir. Résultat : de larges couches de population sont réduites à des vies médicalisées qui serrent le coeur, dont l’issue est trop souvent une mort prématurée dans des conditions misérables.

Vous l’aurez compris, nous allons aborder de front le sujet qui fâche : l’homosexualité.

Voici d’abord quelques liens basiques :

(1) http://www.biblebelievers.com/Cameron2.html

(2) http://www.familyresearchinst.org/2014/04/frr-mar-2014-are-gay-parents-more-apt-to-commit-incest/#more-1180

(3) http://www.maxisciences.com/sida/sida-des-statistiques-inquietantes-chez-les-homosexuels-americains_art9404.html

(4) http://www.oserenparler.com/lhomosexualite/sida/

(5) http://www.sida-info-service.org/?Quelques-chiffres-sur-le-VIH-sida

La référence (1) renvoie à d’autres liens, mais surtout, contient une impressionnante liste de 33 références médico-scientifiques au plus haut niveau. Les autres références sont dignes de leurs titres. Une liste exhaustive serait interminable.

Dans (1), l’auteur se livre à une étude en trois temps :

Premier temps : il rappelle dans tous ses détails ce qu’est l’activité homosexuelle, tant féminine que masculine.

Deuxième temps : il analyse, références à l’appui, les conséquences purement médicales de ces comportements.

Troisième temps : l’auteur, statistiques incontournables à l’appui, compare les abus sexuels familiaux sur enfants dans les foyers homoparentaux et hétéroparentaux.

Nous allons ci-dessous résumer cette étude.

I) L’activité homosexuelle masculine

Elle consiste rituellement en trois grands types de relations : les fellations ; la relation reine : la sodomie ; et enfin, les activités ano-rectales. Dans la plupart des cas de fellations, le fellateur prend le sperme dans sa bouche. Dans la sodomie, tout ou partie de l’acte se déroule sans protection. Les activités ano-rectales vont jusqu’à des pratiques hallucinantes : nous en détaillerons deux principales, le ‘’fisting’’ (alias ‘’fist’’) et les gerbilles. Après quoi, nous en évoquerons brièvement quelques autres qui donnent elles aussi froid dans le dos.

L’auteur rappelle que le sperme, à part globules et plaquettes, contient presque tous les autres ingrédients qu’on trouve dans le sang. En particulier, pratiquement tout germe dangereux qu’on trouve dans le sang se retrouve dans le sperme. C’est le cas de virus, dont le célèbre VIH. mais aussi de la plupart des germes d’hépatites A, B ou C, ainsi que des germes aussi sympathiques que ceux de l’herpès génital, des gonococcies, de la fièvre typhoïde, de la syphilis (dont on oublie trop qu’elle ne vaut guère mieux que le sida déclaré), et de maladies plus rares. Ces germes, au cours d’une fellation complète, sont partiellement ingérés par le fellateur. Mais l’inverse est aussi vrai : si le fellateur est lui-même porteur de germes dangereux, sa salive peut en contenir, et ils passent sans problème la peau du gland, qui est fine comme un papier à cigarettes. Par exemple, un(e) syphilitique qui s’ignore (plus fréquent qu’on ne l’avoue, et en pleine recrudescence depuis que le tiers monde débarque à pleins bateaux chez nous), s’il(elle) régale son partenaire d’une fellation totale, lui passe automatiquement des tréponèmes. Si ce partenaire est tant soit peu immunodéprimé (il suffit d’un état de fatigue passager ou d’une simple grippe en incubation), la probabilité de contamination explose !

Le plus mauvais, c’est que la plupart des ces porteurs de germes n’en subissent pas tout de suite des symptômes. C’est le cas pour l’hépatite C, qui reste silencieuse jusqu’au moment où il est trop tard, et qu’on ne dépiste que difficilement. Or dans plus de 30 % des cas, l’hépatite C tourne en cancer du foie. C’est aussi le cas de la syphilis secondaire après que le malade ait surmonté la roséole : elle est alors invisible pendant des années, jusqu’au moment où la maladie flambera en tabès final (voir par exemple les jolies photos de Lénine peu après la NEP, sur sa chaise roulante, où il tire la langue pire qu’Einstein ; Lénine était alors en phase terminale de tabès syphilitique).

L’auteur explique que les relations bucco-anales, monnaie courante entre homosexuels masculins, et assez fréquentes chez les lesbiennes, permettent aux germes dangereux de circuler dans les deux sens : celui ou celle qui aventure sa langue dans ces lieux peut transmettre ses germes mais aussi recevoir les germes de la personne lingualement pénétrée. Notamment, la personne pénétreuse, même si elle n’en a pas conscience, ne peut pas ne pas ingérer peu ou prou des liquides fécaux, lavement préalable ou pas, préservatif ou pas. En effet ces liquides fécaux, peu ou pas visibles car quasi-transparents, s’écoulent en permanence des parois intestinales dans le rectum, par un effet buvard perpétuel, à la manière d’un lubrifiant discret. Chez un sujet propre ne dégageant que peu ou pas d’odeurs, ce phénomène sera d’autant plus insidieux. Il n’y a pas que ces liquides : la personne pénétreuse peut aussi rapporter dans son propre tube digestif des oeufs de parasites intestinaux, dont certains, particulièrement tenaces, pondent par milliers des oeufs microscopiques. Dans la catégorie des oxyures, on a des variétés où le ver adulte est aussi fin qu’un cheveu et quasiment indécelable ! quand ce ver devenu adulte se manifestera, il sera trop tard, le porteur sera dévoré de démangeaisons désespérantes dans sa zone ano-rectale. Il faudra traiter et bien sûr, on pourra traiter, mais la ‘’fierté gay’’’ n’en sortira pas précisément indemne….

L’auteur explique ensuite que le rectum, capote anglaise ou pas, et quoi qu’on fasse, abrite (hors parasites) un bouillon de culture très riche qui réunit possiblement quatre types de germes : les germes apportés par la langue du ou de la partenaire. Les germes apportés par le sexe masculin qui pénètre. Les germes provenant du lubrifiant intestinal permanent qui tapisse perpétuellement le rectum. Et enfin les germes provenant du sang de la personne pénétrée. En effet, la muqueuse rectale est d’une incroyable finesse (l’auteur précise ; une seule couche de cellules !) et d’une richesse prodigieuse en micro-vaisseaux (capillaires) ; or cette muqueuse, dans la relation homosexuelle lambda, est soumise à rude épreuve : l’auteur précise que la moyenne annuelle du nombre de sodomies subies par un homosexuel masculin lambda varie dans une fourchette de 50 à 108. Chaque saillie, capote ou pas, provoque des déchirures microscopiques de cette muqueuse, qui laissent passer le sang du sodomisé, mais qui laissent aussi passer les germes éventuels apportés par le pénétreur. Nous y reviendrons plus bas.

L’auteur explique sans fioritures deux points essentiels qu’il faut bien comprendre et dont le public n’est jamais informé : la muqueuse vaginale d’une part ne reçoit pas de lubrifiants intestinaux (ni donc, de germes qu’ils peuvent contenir) ; et d’autre part cette muqueuse est épaisse et solide, parfaitement tissée et nervurée comme une forte toile (elle est conçue pour laisser passer le bébé !) et ne peut en aucun cas laisser passer quoi que ce soit du vagin dans la circulation sanguine de la femme. Ainsi dans la relation hétérosexuelle classique, capote ou pas, deux causes majeures de transmissions de maladies (dans les deux sens) sont absentes.

Pour finir, l’auteur décrit ces deux pratiques homosexuelles cauchemardesques : le fist, et les gerbilles. Hélas ce ne sont pas les seules !

Le fist consiste en l’introduction progressive, par l’anus, dans le rectum du receveur, d’une notable portion de l’avant-bras du pénétreur De multiples vidéos sont disponibles sur Internet. Inutile de préciser l’état catastrophique en lequel cette pratique réduit la pauvre muqueuse rectale du pénétré. En quelques années, cette muqueuse perd son élasticité et une grande partie de ses capacités de filtrage. D’où deux conséquences lourdes :
apparition de fuites anales d’une part, et d’autre part perméabilité accrue aux germes de toute nature dans les deux sens (du sang du pénétré dans la cavité rectale ; du sperme du pénétreur et/ou des matières fécales du pénétré dans le sang du pénétré). Ce traumatisme grave peut se terminer en cancer ano-rectal, qui obligera la personne à vivre avec des poches en plastique pour l’écoulement des déjections intestinales (ces malheureuses personnes contraintes à vivre avec ces poches sont dites ‘’stomisées’’). Mais même en l’absence de cancer induit, les adeptes du fist se voient obligé(e)s, à la longue, de porter des couches ano-rectales pour absorber les fuites avant qu’elles ne s’écoulent dans la raie fessière. C’est un peu le système des tampons féminins, sauf que ces couches ano-rectales doivent s’introduire et se porter dans le rectum…….

Enfin le top du top : les gerbilles. Le mot ‘’gerbille’’ désigne un animal, très voisin d’un petit hamster. L’homosexuel(le) se prépare le rectum, en y introduisant une serviette enroulée très résistante. Puis, cette personne prépare une gerbille, en lui limant les griffes et les dents, pour éviter toute blessure ouverte. La personne place alors la gerbille dans la serviette restée en place dans son rectum ; après quoi, cette personne referme fortement son anus externe. La gerbille, affolée, cherche l’air et donc, s’agite un certain temps en tous sens, sans trouver de sortie. Il paraît que c’est cette agitation qui procure des sensations jouissives. Une fois la bestiole morte étouffée, il ne reste plus qu’à l’extraire de sa prison, bien content si cette délicate opération ne nécessite pas une intervention à l’hôpital….

Dans les hôpitaux, pavillons vénérologie, les personnels, blasés, trouvent d’ailleurs de tout dans le rectum des clients : des gerbilles, mais aussi des légumes variés (concombres, carottes, bananes….), des vibromasseurs, des godemichés de toutes tailles, des bouteilles de verre (pas seulement des canettes, mais aussi des bouteilles entières de type 75 cl !)….

A l’intention des plus chauvins de nos lecteurs, nous rajouterons deux rappels de ce qui se fait en ce domaine dans notre bonne vieille France depuis longtemps hélas ! (notons ces deux rappels n’épuiseront pas le sujet….il y a les perversions zoophiles, et il y a encore plus dingue, mais nous devrions alors donner trop de détails insoutenables).

Premier rappel : les ‘’soupeurs’’.

Certains homosexuels pervers raffolent de l’urine mâle. Classiquement, nus, ils se font uriner sur eux par leur partenaire, et même, ce n’est pas rare, dans la bouche. Cette perversion porte le joli nom de ‘’douche dorée’’(en castillan :’ ’’lluvia dorada’’ et en anglais :’’golden shower’’). Si ça s’arrêtait là, ça ne vaudrait même pas une citation. Mais non, ça ne s’arrête pas là. L’odeur forte de l’urine mâle est irrésistible pour ces pervers, alors ils laissent traîner dans les urinoirs publics des gros morceaux de pain, qui donc s’imbibent d’urine à la manière d’une éponge. Et au bout d’une ou deux heures, ils viennent discrètement récupérer ce bout de pain….et le consomment avec délices !….ce sont ces pervers qu’on appelle depuis bien longtemps les ‘’soupeurs’’.

Second rappel : la scatophilie et la scatophagie. Cette horreur est loin d’être marginale. Il existe dans le quartier de Pigalle des temples du sexe possédant, comme il se doit, de vastes souterrains obscurs ; de nombreuses petites salles où l’on peut se tenir à deux y sont reliées entre elles par un réseau de couloirs sombres. Ces salles, souvent sans porte, sont équipées de vidéoscopes qui passent en non-stop des films scatologiques et/ou scatophagiques abominables ; on y voit des êtres humains, femmes ou hommes, commencer une partie de sexe ‘’normale’’ avec un partenaire qui, sans prévenir, se met soudain à déféquer abondamment -, et là, la séance commence. L’autre partenaire s’enduit de ces fèces, sur le visage, sur la poitrine, sur les bras, sur le bas-ventre, et jusque sur son sexe, avec délices. Quand il a terminé, le partenaire défécateur participe à l’orgie…on n’imagine pas le nombre d’amateurs de ces spectacles, TOUS DES HOMMES A 99 %. Et des gens qui semblent d’une classe sociale pas du tout bas de gamme ….quant aux acteurs de ces scènes, ils font réfléchir sur la nature humaine : jusqu’où l’amour de l’argent ne peut-il pas mener!

Une preuve que ce n’est pas nouveau sous le soleil : le marquis de Sade, dans ‘’Justine ou l’Ingénue Libertine’’, décrit de pénibles scènes de scatophagie. Des personnes scatophiles s’allongent sur le dos, installent leur partenaire féminine à croupetons au-dessus de leur tête, plaquent leurs lèvres sur l’anus de cette femme et lui demandent de déféquer directement dans leur bouche. Sade écrit très exactement :’ ’(…) et le monstre avale tout (….)’’ (on comprend mieux pourquoi le ‘’divin marquis’’ a fini interné à Charenton….)

Le bruit a couru avec insistance à Paris, de nombreuses années entre 1960 et 1980, qu’un célèbre acteur de cinéma, qui passait par ailleurs pour un Don Juan, était très amateur de ce genre d’agapes, dans l’exacte posture relatée par Sade.

Mais même Sade serait ébahi de ce qu’on trouve sur les vidéos de ces backrooms de Pigalle…….Fin des rappels.

II) Après ce passionnant tour d’horizon, l’auteur passe aux conséquences médicales. Il donne des statistiques, toutes étayées par des études sur des milliers de cas, sanctionnées par des articles médicaux parus dans de bonnes revues officielles.

Voici quelques aperçus :

Moyenne d’âge de la mort des personnes dont le décès est lié au sida : 39 ans.

Probabilité qu’un homosexuel homme de plus de trente ans ait été atteint d’une maladie vénérienne dans les cinq ans précédents : 3/4.

Au moins 50 % des personnes homosexuelles (hommes ou femmes) ne dépasseront pas 65 ans, contre seulement 20 % dans la population générale.

Deux échantillons de personnes égaux en nombre (plusieurs milliers). On les suit médicalement pendant au moins un an. Premier échantillon : composé de personnes homosexuelles. Second échantillon : tout-venant hétérosexuel. Après un an ; 70 cas d’hépatites dans le premier échantillon, zéro cas dans l’autre.

Parmi les pratiquants de léchage ano-rectal (en anglais ‘’rimming’’), incidence annuelle de l’hépatite A : 22%.

Les Centres U.S. de contrôle médical relèvent que les cas d’hépatite A constatés pendant les six premiers mois en 1991 ont été trouvés dans la communauté gay à 29 % à Denver, à 66 % à New York, à 50 % à San Francisco, à 42 % à Montreal, à 56 % à Toronto, et à 26 % à Melbourne. Vu l’étroitesse de la communauté gay, ces chiffres sont énormes (voir plus bas, même phénomène cumulatif qu’avec le SIDA).

Une autre étude montre qu’à San Francisco, 59 % des gays interrogés ont reçu du sperme dans leur rectum au cours du mois précédant l’interview.

En 1992, 83 % des nouveaux cas de SIDA dans la population blanche ont été observés dans la communauté gay.

L’annuaire de l’observatoire sexuel de Seattle a établi les moyennes annuelles suivantes dans la communauté gay :

Le nombre moyen annuel de fellations pratiquées par un gay est supérieur à 100.

Le nombre moyen de pénétrations ano-rectales subies par un gay en une année a été 68.

Le nombre moyen d’échanges salivaires d’un gay avec un autre en une année a été 96.

Sur une année, le nombre moyen de partenaires différents dont un gay a ingéré des résidus fécaux a été 19.

Durant six mois d’observation, 10 % des gays ont développé une hépatite B et 7 %, une hépatite A.

L’incidence de ces statistiques sur l’espérance de vie s’est traduite comme il suit ; on appelle ‘’ âge élevé ’’ un âge au moins égal à 65 ans. Dans la population hétérosexuelle mariée, 80 % des personnes décèdent à un âge élevé. Dans la population homosexuelle mâle décédée par une cause autre que le SIDA, seulement 9 % sont décédées à un âge élevé, et l’âge moyen du décès a été 42 ans. Dans la population homosexuelle féminine, 20 % seulement sont décédées à un âge élevé et l’âge moyen du décès a été 44 ans.

Toutes ces statistiques sont extraites d’articles médicaux cités dans 33 références, parus dans des revues médicales scientifiques reconnues de renom international parmi lesquelles on remarque ‘’the lancet’’ (3 occurrences), le ‘’Journal of the American Medical Association’’ (5 occurrences), le ‘’New England journal of Medicine’’ (3 occurrences), le « American Journal of Epidemiology, » (2 occurrences), le « American Journal of Public Health, » (2 occurrences), le ‘’ »Annals Of Internal Medicine, » (2 occurrences), etc, etc.
On remarquera tout particulièrement l’article référence 26 : ‘’ Elford, J. et al. Kaposi’s sarcoma and insertive rimming’’,paru dans « Lancet’’ , cote 1992339938. (traduction : ‘’Sarcome de Kaposi et rapports bucco-anaux pénétrants’’—titre parfaitement clair——)

III) Les abus sexuels familiaux sur enfants

Pour ne pas rallonger ce texte, nous nous contenterons de donner le lien (2), reproduit ici :

Toujours avec les mêmes méthodes, et avec de nombreuses références sérieuses à l’appui, les auteurs de (2) montrent de façon accablante que dans les familles homoparentales, le risque que des enfants subissent des abus sexuels de la part d’adultes est en moyenne CINQUANTE FOIS PLUS ELEVE que dans les familles hétéroparentales, et il montre que l’écrasante majeure partie de ces abus sont des relations homosexuelles. Les enfants les plus exposés à ces risques sont les garçons. Ces précisions ne sont qu’un résumé, forcément partiel et au contenu informatif appauvri. Nous ne pouvons qu’engager nos lecteurs à approfondir en étudiant à fond ce lien (2).

CE QUE CACHE LA LOI TAUBIRA.PARTIE II: LE CAS DU SIDA

cette maladie pour le moment incurable justifie un paragraphe séparé.

La proportion des homosexuels dans la population générale est difficile à estimer, mais la fourchette entre 2,5 % et 8 % est fiable. Par suite, on serre de près la vérité en admettant que la communauté homosexuelle mâle ‘’militante’’ (les ‘’gays’’) représente au plus 2,5 % de la population. Il est établi que ces 2,5 % fournissent annuellement entre 40 % et 50 % des contaminations par les virus VIH (virus du SIDA). Donc 97,5 % de la population se partage les 50 ou 60 % restants de contaminations par ces virus. Admettons que le partage soit : 45 %—-55%.Prenons au hasard deux échantillons E et F de population de 1000 personnes chacun : l’échantillon E, formé exclusivement d’homosexuels mâles gays. L’échantillon F, formé de personnes non homosexuelles mâles gays. Soit N_E et N_F respectivement le nombre des personnes atteintes de sida dans les échantillons E et F. Comme 1000 divisé par 2,5 égale 400, et comme 1000 divisé par 97,5 égale 10,2, nous déduisons que N_E divisé par 1000 égale 400 fois 45/100, tandis que N_F divisé par 1000 égale 10,2 fois 55/100. on a donc :

N_E/N_F=(400 x 45)/(10,2 x 55)=18000 /561 = environ 32

Autrement dit, on a à peu près N_E = 32 fois N_F. Cela signifie que proportionnellement, un nombre donné de personnes homosexuelles mâles gays fournit à peu près 32 fois plus de nouvelles contaminations par le SIDA que le même nombre de personnes non homosexuelles mâles gays.

Par un raisonnement identique, fondé non sur le nombre de nouvelles contaminations mais sur le nombre de personnes vivantes contaminées par le VIH, on peut démontrer que si on prélève du sang au hasard dans la population, la probabilité que ce sang soit contaminé par le VIH est environ CENT FOIS PLUS ELEVEE quand il est prélevé sur un homosexuel mâle que sur une personne non homosexuelle mâle.

Les pouvoirs publics français ne s’y sont pas trompés, et ne prennent pas de risques : ils ont promu le ‘’mariage pour tous’’, mais ils se sont bien gardés de revenir sur l’interdiction faite aux homosexuels mâles de donner leur sang. Pourtant cette interdiction est clairement discriminatoire ! mais curieusement, les associations gravitant autour de LGBT ne se sont pas battues franchement contre cette discrimination flagrante, ce qui semble indiquer qu’elles n’ont rien à opposer au sérieux scientifique de ce facteur 100 et de ce facteur 32 (elles avaient trop peur sans doute que ces chiffres catastrophiques soient révélés au grand public, ce qui aurait à coup sûr fait capoter dans l’oeuf la loi Taubira). Le souvenir de la déplorable affaire du sang contaminé, qui colle encore aux basques de certains hiérarques socialistes, demeure cuisant presque trente ans après….
Le facteur 32, qui n’est qu’une estimation basse, n’est jamais diffusé au grand public français, et pour cause ! le français moyen qui lit :

’’45 pour cent de sidas nouveaux concernent des homosexuels hommes’’, complète machinalement en lui-même :

‘’bon, après tout, il n’y a pas le feu, donc 55 pour cent de ces sidas concernent des non-homosexuels hommes, donc ce n’est pas probant, après tout, le sida n’est donc pas lié à l’homosexualité masculine’’

Et on laisse cette fausse impression circuler et se répandre, alors que c’est tout le contraire, quand on y regarde de près, ce partage 45—55 cache ce désastreux facteur 32 ….Facteur qui démontre bien, entre autres preuves, que OUI, LE SIDA EST UNE MALADIE QUI A BEAUCOUP D’AFFINITES AVEC L’HOMOSEXUALITE MASCULINE. ENTRER DANS LE MONDE DE L’HOMOSEXUALITE MASCULINE AVEREE (le ‘’GAYTTO’’…), C’EST TROP SOUVENT ENTRER DANS LE MONDE DU SIDA,la voilà, la triste, la sinistre réalité qu’en vertu du terrorisme intellectuel bien-pensant, personne n’ose dire franchement ! réalité que d’aucuns voudraient interdire de dire sous peine de condamnations accablantes !

Ceux de nos lecteurs qui désirent en savoir plus sont invités à étudier à fond les liens (3), (4) et (5) ; où ils pourront constater que même de la part de milieux très politiquement corrects, le lien très fort entre SIDA et homosexualité masculine est clairement établi et n’est contesté par personne.

CE QUE CACHE LA LOI TAUBIRA.PARTIE III - DISCUSSION

Il nous a semblé nécessaire de reconsidérer les questions de la loi Taubira et de l’éducation sexuelle en milieu scolaire à la lumière des données médicales objectives ci-dessus exposées. Ces deux questions n’en font qu’une, c’est pourquoi nous les aborderons conjointement.

L’argument de base des défenseurs de ces lois est d’ordre moral, mais sur fond d’une morale primaire, sentimentale, irrationnelle, culpabilisatrice et faussement égalitariste. Dans l’ordre moral, l’humanité nous a donné de grands philosophes, dès la plus haute Antiquité. Mais la morale qui sous-tend ces lois TAUBIRA n’est pas élevée, ses adeptes refusent le débat de fond, on l’a bien vu en 2013 : tout débat parlementaire serein et animé par de nombreux bons esprits a été refusé, le gouvernement a légiféré dans la précipitation, son attitude a été peu différente d’une procédure par ordonnances après avoir demandé aux Assemblées d’accorder des pouvoirs spéciaux. Exactement comme si le gouvernement redoutait, en laissant le débat se dérouler normalement avec de larges délais de réflexion et interventions d’éminentes personnalités d’horizons variés, de voir ses propositions de loi retomber comme un soufflé.

Le maître-mot a été ‘’égalité’’. C’est au nom d’une mythique ‘’égalité’’, invoquée comme une déesse dans un temple et devant laquelle la seule attitude admise est la prosternation, qu’on a fait voter ces lois, pour ainsi dire par la ‘’violence parlementaire’’, autrement dit par des artifices procéduraux permettant de contourner toutes les nécessités d’un vrai débat démocratique.

Que vient faire la religion égalitaire dans tout ça ? si l’homme et la femme sont bien sûr égaux en droit (qui le conteste ?), ils ne sont pas égaux en nature. Ils sont complémentaires, physiologiquement et par destination. La vraie unité de vie de l’espèce humaine, c’est le couple homme-femme. Les astronomes qui ont lancé une sonde susceptible d’atteindre un autre système solaire que le nôtre y ont placé un bas-relief à destination d’êtres éventuels dont on ignore tout, mais dont on pense qu’ils pourraient comprendre qu’il s’agit d’un message venu d’au autre système solaire. Ce bas-relief représentait un couple homme-femme….

Ces acharnés partisans de ces lois ont voulu croire et surtout, laisser croire, que la vie de couple entre personnes homosexuelles valait celle des couples hétérosexuels. Qu’on peut construire sa vie sur ces bases-là. Mais c’est là un mensonge dramatique. La vérité objective, abstraction faite de toute considération morale, est qu’une vie en couple homosexuel n’est pas l’égale d’une vie en couple hétérosexuel. Le couple hétérosexuel est l’unité biologique de vie et de survie. La nature est ainsi faite. S’imaginer le contraire est se croire au-dessus de la nature. Rêve dérisoire digne d’un caprice d’enfant : comment mettre en balance ce que la Nature a construit en des centaines de milliers de siècles et ce que peut notre pauvre technologie en une, deux ou trois générations ? l’homme, présent sur Terre depuis bien avant l’ère quaternaire, a survécu aux grandes glaciations, qui réduiraient en cendres nos actuelles civilisations si elles devaient revenir trop rapidement (par exemple en moins de deux mille ans, là nous mourrions tous). Il a survécu à d’hallucinantes épidémies (la peste noire du Moyen-Age a tué la moitié de la population européenne ; si la variole revenait brusquement, elle tuerait les trois quarts de l’humanité actuelle). C’est toutes ces luttes pour la vie que l’espèce humaine porte dans ses gènes. La gestation par la femme est une réussite biologique extraordinaire. Toutes nos petites manipulations biologiques à la docteur Mabuse sont des enfantillages imprudents et dérisoires à côté de cette titanesque Histoire Humaine. L’exposé ci-dessus montre assez toutes les impasses où conduisent ces prétentions d’indifférencier les sexes : la muqueuse anale est ce qu’elle est, si on s’amuse à lui faire remplir d’autres fonctions que celles définies par la nature, on voit bien que ça va dans le mur, qu’il faut surentasser les précautions en cascade, et que cette contrainte n’a pas de fin. C’est bien beau pour un homme de subir des centaines de saillies ano-rectales en quelques années, mais nous avons vu que l’espérance de vie s’en trouve statistiquement gravement compromise, et quelle vie ! finir avec des couches absorbantes quotidiennes dans le rectum ou pire, stomisé, quelle perspective ! multiplier par un facteur ingérable les risques d’infections de toute nature pour entretenir coûte que coûte cette fiction d’égalité, quelle escroquerie, quelle arnaque ! cet acharnement à vouloir à tout prix défier la Nature a quelque chose de pathétique. La sagesse populaire l’a pourtant remarqué depuis des siècles :’’on ne commande à la Nature qu’en lui obéissant’’ (Tiens comme les choses ont changé ! ce dicton si simple et si profond, je l’ai appris au CM1 du temps des hussards noirs !….) se croire plus forts que la nature parce qu’on a inventé les antibiotiques est absurde : ceux qui le croient savent-ils que la prise d’antibiotiques détruit partiellement les défenses immunitaires naturelles ? et que donc la prise sur le très long terme d’antibiotiques fait de vous un immunodéprimé aussi sûrement que le VIH ? qui mourrait sur l’heure sans ses doses quotidiennes d’antibiotiques ? (malgré ces doses quotidiennes d’antibiotiques, tous les immunodéprimés, que ce soit pas SIDA ou pour d’autres causes, finissent par faire une septicémie et par en mourir).

Une arnaque, pas d’autre mot ! les naïfs qui pourraient être tentés, alors qu’un effort d’adulte responsable, sans ces sirènes, suffirait à basculer du côté de la raison, vont vite déchanter, s’apercevoir qu’on leur a menti, que la vie avec un ou des compagnon(ne)s homosexuel(le)s est encore plus semée d’embûches qu’en couple hétérosexuel, que la prétention d’avoir des enfants en s’achetant des orphelin(ne)s de naissance de par l’abandon tarifé d’une mère indigne ne remplacera jamais l’amour naturel pour de vrais enfants issus de l’amour partagé d’un vrai couple ; que cette prétention ne brise aucunement l’affreuse solitude à laquelle on s’est condamné en écoutant ces sirènes….qu’on mène une vie entièrement dépendante de la production continue de médicaments variés et de son financement par une sécurité sociale qui traite aveuglément sur le même pied ceux qui respectent le corps humain et ceux qui se livrent à toutes les imprudences en s’imaginant plus forts que la Nature …quelle lourde perte de liberté et d’autonomie !

L’arnaque est entretenue par la pornographie démocratisée. Pour ceux qui ne savent pas la visionner au second degré, c’est la maison d’illusions pire que le pays des jouets de Pinocchio ! ah certes, dans ces vidéos, tous les mâles ‘’fonctionnent’’ à merveille, les femmes et les hommes jouissent à fond, le plaisir déborde de partout, les hommes entre eux atteignent des sommets sublimes….mais pour ceux qui connaissent l’envers du décor : la plupart des acteurs font ça pour l’argent, argent qui est le seul moteur de cette industrie du X ; ces stars sont des hommes et des femmes comme tout le monde, avec leurs problèmes souvent peu drôles….on cache au spectateur les ratés pitoyables, les jours d’abstinence forcée précédant les tournages (sous haute surveillance pour éviter tout risque de contamination extra-tournage), les pannes, les fiascos qui surviennent au pire moment, les séances interminables de visites médicales qu’il faut subir avant et après les tournages tellement tout le monde a la peur au ventre de se faire contaminer (car c’est mal connu, mais le livre noir des stars du X contaminées par le VIH commence à être sérieusement garni, surtout depuis l’envolée du X homosexuel…) les truquages qui font croire à des éjaculations géantes….envers du décor qui, si on le montrait honnêtement, constituerait une triste illustration de la misère humaine. Les accros du X oublieraient presque que les organes montrés impudiquement sont en même temps des organes excréteurs de déjections dont la production ne s’arrête jamais au cours de la vie, ne s’arrête que par la mort ! que matériellement,la vie humaine est un échange massif de matières avec le milieu environnant, puisqu’en moyenne, le flot de matières solides et liquides qui traverse nos corps, au cours d’une vie de 85 ans, est d’environ 85 tonnes, c’est- à-dire MILLE FOIS NOTRE PROPRE POIDS ! et que, par conséquent, si on ne respecte pas ce prodigieux filtre vivant, en toutes ses parties et tous ses organes effroyablement complexes, on va bien évidemment détraquer la machine au point qu’aucune poudre de perlimpinpin ne pourra plus rien pour elle ! ces longues sodomies d’enfer entre beaux jeunes hommes, qui foisonnent dans les production X actuelles, si on les considère dans leurs coulisses et dans leurs conséquences à long terme, ne peuvent pas ne pas se payer tôt ou tard, et au prix fort….Ce n’est d’ailleurs pas tout : si on rajoute aux liquides et solides l’air dont nous avons besoin( (11 m3 par jour), le poids total des matières solides, liquides et gazeuses qui traversent notre corps dans une vie de 85 ans est en moyenne SIX CENTS TONNES, soit SIX MILLE FOIS NOTRE PROPRE POIDS ! Donc physiologiquement, nous ne sommes qu’un prodigieux filtre vivant, d’une effroyable sophistication. Comment peut-on jouer impunément avec un organe aussi essentiel que la muqueuse ano-rectale, celle qui doit être préservée entre toutes et qui a pour fonction naturelle d’évacuer dans de bonnes conditions, au cours d’une vie normale, au moins quarante des quatre-vingt cinq tonnes de matières liquides et solides qui traverseront notre corps ? il faut être fou pour prendre des risques avec ça !

Ici,il faut revenir sur la sodomie. Une sodomie ‘’classique’’ dure en moyenne au minimum 10 minutes. Une défécation d’un humain en bonne santé dure au plus 20 secondes. Dans la défécation, la matière fécale qui passe n’est pas bien dure, elle n’agresse aucun tissu, c’est le péristaltisme qui fait tout le travail, sans effort supplémentaire notable, sans précipitation. Dans une sodomie complète de dix minutes, le membre viril pénétreur est très dur, les va-et-vient sont rapides. L’agression des parois rectales est donc sans commune mesure avec les effets d’une défécation, et elle dure soixante fois plus longtemps. Sollicitées très au-delà de ce que la nature a prévu, ces parfois rectales, dont nous avons vu l’extrême fragilité, subissent de microscopiques nombreuses déchirures. Aucun préservatif, aucun lubrifiant ne protège contre cela, car c’est la mécanique du mouvement qui est en cause. Ces microscopiques déchirures sont autant de ponts entre le rectum et la circulation sanguine du pénétré. Même si le préservatif empêche la plupart des germes portés par le pénétreur de passer dans le sang du pénétré, rien n’empêche les germes intestinaux du pénétré de passer la membrane rectale, lors des obligatoires défécations à laquelle l’existence contraint les humains chaque jour. Rien n’empêche non plus à des germes extérieurs de passer cette membrane, sauf à s’imposer une dingue hygiène constante de la zone ano-rectale (hygiène qui est impossible car 99 % des toilettes utilisées durant les heures de travail ne sont pas équipées pour permettre une vraie hygiène intime). Rien n’empêchera non plus les germes présents dans la bouche du pénétreur de passer cette membrane suite à un rapport bucco-anal. De toutes façons, nous vivons en contact permanent avec des milliards de microbes, que notre peau arrête sans coup férir. Cette flore, dans une vie normale, ne passe pas la barrière rectale, qui n’est en contact qu’avec la flore intestinale et rien d’autre. Mais une muqueuse anale dégradée par des sodomies régulières laisse passer n’importe quoi dans les deux sens. Le préservatif n’est là que dix minutes ou un quart d’heure sur les 1440 minutes que compte une journée ; les 1428 autres minutes de la journée, cette muqueuse dégradée a plein d’occasions de laisser passer de mauvais germes.

Non seulement cette muqueuse est dégradée, mais le traumatisme mécanique qu’elle subit (avec ou sans préservatif) est bien plus violent que celui inhérent à la fonction fécale et dure soixante fois plus longtemps. La fonction naturelle assure le passage de 40 tonnes de matières non agressives durant une vie de 85 ans. Au cours d’une vie de sodomie à raison de 70 saillies annuelles, dont chacune équivaut au minimum à 60 défécations du point de vue de l’action mécanique, on multiplie le temps du traumatisme par 60 à raison de 70 fois par an, donc c’est comme si on multipliait le temps de la défécation par 60/10=6. Autrement dit, on peut estimer que le rectum subit au cours de la vie une action mécanique équivalant au moins au passage non pas de 40 tonnes mais de 240 tonnes de matières fécales : comment peut-on soutenir que cette énorme augmentation n’aurait aucune suite ? il faudrait qu’on soit construits pour vivre cinq cents ans ! ce méga-mensonge fait partie de la honteuse arnaque !

Tout ce qui précède devrait être médité aussi bien par les femmes que par les hommes, vu la proportion grandissante de femmes qui se laissent sodomiser de façon régulière par leur compagnon.

Et donc, tout bien pesé, l’arnaque confine au scandale quand on endoctrine les enfants pour leur faire croire qu’une vie homosexuelle peut être désirable et satisfaisante autant qu’une vie hétérosexuelle. La notion d’ ‘’orientation sexuelle’’ est trompeuse. On sait bien que les enfants, dans leur période dite ‘’ambiguë’’, ont souvent des jeux entre eux, surtout les garçons. ces enfantillages, bien gérés par des parents intelligents, n’ont aucune répercussion à long terme, ils disparaissent bien vite à la puberté, on sait ça depuis des dizaines de siècles ! l’endoctrinement actuel (car c’en est un, puisque, nous l’avons vu, la religion de l’égalité qui le sous-tend est d’essence irrationnelle) peut faire croire à certains enfants que leur nature n’est pas ce qu’elle est. Vu que la plupart des enfants sont trop confiants en les adultes, cette croyance ne viendra pas d’eux, mais sera le résultat de l’endoctrinement, qui aura pris racine en ces enfants plus aisément qu’en d’autres, ou qui auront été protégés dans leurs familles moins que d’autres. C’est ainsi qu’on fabriquera de toutes pièces des ‘’orientations sexuelles’’ qui n’en sont pas ! et le pire sera lorsque toute cette idéologie de bazar aboutira à des abus homosexuels sur des enfants. Car là oui, un enfant qui découvre le plaisir sexuel par un abus homosexuel va la plupart du temps se trouver piégé, aspiré par une ‘’orientation sexuelle’’…..en effet, la plupart de ces enfants abusés le cacheront toute leur vie, ne déposeront jamais plainte, et se croiront à bon droit d’une nature homosexuelle alors que sans abus, il n’en aurait rien été. On voudrait casser chez les enfants de notre peuple l’amour de la vie, de la vraie vie, de la vie normale dans une vraie famille normale, qu’on ne s’y prendrait pas autrement ! de ce point de vue, l’espèce de rage avec laquelle la police française, en 2013, sur ordre du pouvoir, a réprimé le port et le déploiement de symboles pacifiques évoquant un père, une mère et deux enfants, a réellement quelque chose de satanique.

Plus on creuse la question, et plus grandit l’idée que ces idéologies politiquement correctes, quand elles s’adressent aux enfants, pourraient être qualifiées de criminelles. Nous nous garderons de le faire ici, puisque c’est interdit ; nous nous contenterons de dire que des ennemis de nos civilisations pourraient bien braver les interdits et avancer l’idée que ces ‘’idéologies du genre’’ et autres ‘’ABC de l’égalité’’ sont criminels. N’est-ce pas peut-être ce qui se dit déjà couramment, dans le secret des couloirs feutrés de nos centaines de mosquées ? la participation remarquable et remarquée de forts contingents musulmans aux manifestations de masse de LMPT en est peut-être un indice….toujours est-il que dans ces familles-là, on ne fait pas porter de robe aux enfants et on ne leur apprend pas qu’une famille homosexuelle vaut une famille hétérosexuelle….on est là devant un gouffre métaphysique entre ces communautés et les élites autoproclamées qui dirigent présentement notre pays.

En tout cas, nous espérons avoir le droit de suggérer qu’une éducation sexuelle responsable, pour des enfants et adolescents, consisterait à apprendre aux enfants et adolescents l’essentiel de ce qui est exposé ici, de façon à en détourner le plus possible des paradis sexuels artificiels. Exactement comme il faut les détourner des paradis artificiels chimiques que leur vendent impunément les dealers jusque dans nos Lycées et Collèges ……

La conclusion générale s’impose : ‘’Quos vult perdere, Jupiter dementat’’

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19 Commentaires

  1. Bonsoir Léon
    Heureuse de vous retrouver, revient Léon j’ai les mêmes a la maison
    La sodomie est une activité de loisir réservé a la sphère privée
    Qu’est ce que le syndrome de la sodomie ?
    Un souffle chaud a la base du cou et une douleur lente au bas du dos

    Marre y en a marre il y a un lobby gay très puissant soutenu par Macron

    6+
  2. Justement, le but de ceux qui nous dirigent , c’est d’accélérer la déliquescence des mœurs et de la société. Mettre l’accent sur les minorités dérangeantes, contre nature, afin de marginaliser, ringardiser les gens normaux.

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  3. La vaccination devrait être obligatoire, contre cette horreur !

    Quand au site ami et sa descendance, je crains qu’il est fermé boutique ce matin, au derniere nouvelle du jour.

    Hélas.

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    • reseau libre a raison en denoncant l’inertie des francais. mais quoi? faudrait une armée!!! c’est pas demain la veille donc on continue a raler derriere l’ordi

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  4. Merci Léon pour cette piqure de rappel.
    Il y en a marre de ces minorités qui nous imposent leur conception du monde, issue du gauchisme le plus intolérant, sans tenir compte de la morale et de la nature.
    Heureux de constater aussi que vous ne baissez pas les bras. Réseau libre nous a quitté…Dommage pour ceux qui s’y raccrochaient afin de pouvoir s’exprimer et de garder espoir. s’il ne doit en rester qu’un ce sera vous, bravo.
    Je viens d’apprendre que Boris le Lay venait d’être interdit sur you tube… La censure bat son plein en ce qui concerne les insoumis. C’est à dire que le pouvoir prend peur et c’est tant mieux.
    Bonne continuation Léon et merci encore.

    2+

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