«On ne peut pas assurer qu’il s’agisse d’un règlement de comptes»: C’est par ces paroles martiales que Brice Robin, procureur à Marseille, a fait le point sur l’enquête après une nouvelle fusillade ayant envoyé 2 merdeux à moitié vierges et une racaille confirmée au pays des 72 vierges.
Il faudrait donc que ce crétin de proc explique ce qu’est, pour lui, un « règlement de comptes ». Une des victimes a, à 23 ans, 13 condamnations; une autre victime, 15 ans à peine, a déjà « une seule » (!) condamnation; et la dernière victime, 13 ans n’a jamais été condamnée, « ce qui veut bien dire qu’il ne s’agit peut-être pas d’un règlement de comptes »!
Ainsi donc, ne pas être condamné à 13 ans semble être un exploit en francarabia, et n’avoir qu’une condamnation à 15 ans mérite une médaille. Il est vrai que dans ces quartiers le nombre de condamnations montre le niveau d’intégration à la société française de la vermine importée devenue « nouveaux français ». Casier vierge? Eh bien oui, Robin, on naît avec un casier vierge, on est tous vierge au départ! Il semble donc que celui-là n’ait pas eu le temps de faire ses preuves sur les bancs de la Correctionnelle, on l’a envoyé au pays d’allah avant!
C’est le lot commun de toutes ces cités où la police, sur ordre des préfets et des procureurs, plus ou moins corrompus ne s’aventure plus avant qu’un meurtre ne soit commis. La lâcheté au stade institutionnel, la couardise érigee en dogme gouvernemental. La came se vend à chaque immeuble, les quelques rares « honnêtes » gens qui n’ont pas pû fuir par manque de moyens sont harcelés jusqu’à ce qu’ils ne craquent, et les habitants à partir de 7 ou 8 ans participent au travail du réseau.
On comprend que Robin soit quelque peu gêné aux entournures car son incompétence crasse s’étale en public une fois de plus: A Marseille, un mois sans rafale c’est comme un jour sans pastaga! Ca ne se voit jamais! Bien sûr, quand on interdit aux flics (qui de toute manière préfèrent verbaliser les terroristes qui roulent à 55 au lieu de 50, c’est moins de risques!) d’entrer dans les cités à gnoules, on laisse se développer les réseaux et on en arrive fatalement à des conflits d’intérêt. Et là-bas, tous les huissiers ne nomment Kalashnikov!
Alors oui, Robin, quand une fusillade se produit, avec ou sans cadavres chauds, c’est bien un « règlement de comptes »! Tout comme si, un jour béni, une rafale t’envoie, toi ou l’un de tes compères, ad-patres, ce sera aussi un réglement de comptes: Tout a des limites, et à force de prendre pour des cons les gens qui, par leurs impots, te nourissent t’habillent et te logent, vient un jour où la marmite explose. Il va bien falloir les régler, ces comptes!
Léon
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